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Synthèse

La vie extrémophile est très variée. Ceux-ci sont classés en fonction de leur milieu de vie.
On classe les milieux extrêmes en fonction des conditions physiques qui y règnent comme la température, la pression, le pH...
Pour survivre, les extrémophiles ont dû s'adapter.
Ils ont fait évoluer leur génotype au fil du temps pour optimiser leur survie.
Le génotype change lorsque surviennent des mutations.
On peut se servir de la vie extrémophile à des fins expérimentales. C'est le cas dans la PCR.

 

Les enzymes créées par les extrémophiles leur permettent de posséder un phénotype complet.
Cette méthode de réplication de l'ADN est beaucoup utilisée en laboratoire. Ce n'est là qu'un seul des nombreux apports que peuvent nous fournir les extrémophiles.

 

Nous pouvons nous demander si la vie présente sur Terre ne viendrait pas d'ailleurs, portée par des organismes extrémophiles pouvant survivre dans l'espace.
Nous, les humains, sommes nous aussi des extrémophiles ? On pourrait le penser. Après tout, dire qu'un organisme est extrémophile n'est qu'une question de point de vue.
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